Club Agora Angoulême Valois

Déjeuner autour d'une paella en faveur de leurs oeuvres, organisé comme l'an passé par le Club Agora d'Angoulême avec la présence des clubs Quatalagor dont La Table Ronde d'Angoulême et les trois clubs 41 d'Angoulême N°37, des Remparts et de Cognac N°73.

Club 41 International, Serge Popoff, Président National, face à ses responsabilités!

Dans une longue lettre ouverte, dont vous trouverez le brouillon ci-dessous, Zano, notre Past Président National, exhorte le Président National à ne pas trahir l'esprit de la démarche unanime votée l'an passé par le 41 Français de quitter la structure Européenne...
L'heure  ne serait plus à la conciliation mais bien à l'action, la question étant "aurons nous les C... d'assumer nos choix!"

Comme déjà évoqué sur ce blog, l’affaire du logo constituait un CASUS BELLI vis-à-vis des 41 des autres pays qui considéraient cette appropriation (aussi légale qu’elle soit) comme un rapt indigne. D’où la décision du bureau national de renoncer à la protection du logo afin d’apaiser les choses (et même si indirectement, cela arrange les affaires de la structure international en place).

On voit bien, à travers cet appel de Zano que les choses ne sont finalement pas aussi simples et que la réalité d’une nouvelle structure internationale plus tolérante, n’est pas encore là, le chemin pour convaincre les autres pays sera long. Quoi qu’il en soit, si le débat est nécessaire, il faut essayer de rester unis sur la marche suivie et ne pas oublier que c’est une majorité injuste lors de l'AG internationale de Toulous, mais démocratique, qui nous a poussés à quitter le Club 41 International

Versailles le vendredi 21 septembre 2012

Cher Président ,

Par delà nos relations difficiles, oubliant ma fierté, je t’écris cette lettre pour te demander de bien vouloir sursoir à exécuter immédiatement la décision qui m’a été rapportée prise au Comité National de Dôle concernant l’abandon de la protection du logo et du nom « Club 41 International ».

Tu nous as indiqué en Bureau National que tu n’étais pas un homme de combat mais de conciliation, cela peut être compréhensible et louable. Le rôle de Président National est un rôle parfois difficile pour prendre une décision aussi importante que celle que tu dois prendre, surtout lorsqu’elle doit répondre avant toute chose à l’intérêt supérieur du Club 41 Français, engageant son avenir. Je respecte trop le Comité National pour remettre en cause ses décisions. Dans le cas présent, n’étant pas à Dôle, puisqu’en mission en Roumanie, je n’ai pu donner l’ensemble des informations ou des explications en ma possession ou récoltées au cours de mes derniers déplacements à l’étranger. Je ne te demande pas d’annuler la décision votée, mais de sursoir à son exécution. Le délai indiqué par l’OHMI nous laisse jusqu’au 08/12/2012. Je comprends, et j’expliquerai plus loin le pourquoi, KK est pressé d’avoir notre retrait. Mais nous devons avant toute chose voir l’intérêt du Club 41 Français avant d’abonder dans le sien. Donc je te demande de lire les lignes qui suivent, de les relire si besoin, et de prendre la véritable mesure des conséquences du retrait de notre dépôt de protection. L’année passée, nous tous qui étions dans le Comité National 2011 / 2012 avons pu constater l’élan solidaire et unanime produit par la décision longtemps attendue de quitter le Club 41 International devant la position inflexible de certains Clubs étrangers de ne pas vouloir reconnaître l’existence des non ex tablers et principalement les 2500 de nos amis qui partagent le Club 41 Français. J’ai passé des nuits blanches pour être sûr que c’était la bonne attitude à mener, comme tu dois sans doute actuellement en faire de même.

Lorsque nous avons pris cette décision difficile l’émotion nous envahissait.

Roger Gautier, en larmes, ne cessait de nous remercier. Jean Louis à Chennai allait de sa larme, comme d’autres dans la délégation française. Toi-même, dans la plus grande émotion, nous avait déclaré « les Amis, vous venez de me retirer l’étoile jaune de non ex tabler que je portais ». Je ne l’ai pas inventé, tu nous l’as dit. J’ai du mal à croire, qu’aujourd’hui tu puisses remettre cette étoile, et la faire porter de nouveau par nos Amis. Car abandonner notre action, cela va consister à revenir en arrière avec en plus le risque majeur de division au sein même du Club 41 Français, car comment expliquer à nos Amis venus rejoindre le Club 41 après 40 ans sans avoir connu la Table Ronde, qu’ils ne pourront jamais être comme les autres. Tu as adressé une lettre à KK, voulant être conciliant. C’était un choix compréhensible. Sa réponse fut sans équivoque, les non ex resteront en dehors, et devront accepter cette situation un point c’est tout.

…« Il est inutile de dire et répéter que les bases de la création de clubs 41 étaient de préserver l’héritage des Tableurs. »…

…« Et il n’y rien de mal de notre part à attendre d’eux (les non ex) de respecter nos règles et nous laisser administrer nos vrais Tableurs »… (Pour moi qui ai pourtant fait plus de 18 ans de Table Ronde, c’est insupportable.) Toutes les amabilités contenues dans le mail du jeudi 20 septembre, demandant des nouvelles de ton épouse, des vacances, des futures rencontres etc…, n’ont qu’un but : extorquer ton aval et abandonner notre action. Ne sois pas le Président qui aura conduit le Comité National 2012 / 2013 dans cette voie.

Mes deux déplacements à l’étranger m’ont apportés la réflexion suivante :

Aux Rencontres du Bassin Méditerranéen, à Tarente en Italie, Georges BRADEAN alors Vice Président du 41 de Roumanie, nous confiait à Philippe Duprez et à moi, sa réflexion sur la situation internationale : « nous pensons que la situation se régularisera et tout rentrera dans l’ordre dans 2 à 3 ans, car les hommes changent, KK sera remplacé, et d’autres plus ouvert arriveront. Partant de cette hypothèse, la Roumanie, tout en se rappelant ses relations avec les 41 français, souhaite rejoindre le 41 français mais ne souhaite pas quitter le Club 41 International. C’est cette position que je défendrais à notre AG » C’est ce qu’il a fait une semaine plus tard lorsqu’il est devenu Président National.

En réfléchissant sur cette position, j’ai compris que nos Amis étrangers traditionnels étaient dans la même position et qu’à la question « venez vous nous rejoindre »,la réponse serait toujours embarrassée.

A titre individuel, sans aucun problème ils sont des nôtres, mais à titre de responsable de leur Club National, ils ne souhaitent pas s’engager à ce point, car cela demande un investissement et toute une démarche pour aboutir au résultat en AG, l’éventualité risquée d’une réponse inverse qu’ils ne souhaitent pas est aussi un motif. (Je me rappelle ainsi les remarques à posteriori que me faisait Paolo Pisani, PN Italien, au jumelage Piémont Savoie, qui allaient dans ce sens).

La situation vue à Brasov il y a une dizaine d’années, ne pourra se renouveler, car le contexte est différent. Les délégations dans un mouvement d’humeur sortant de la salle de L’AG Internationale, puis négociant dans les couloirs pour revenir et se mettre d’accord n’a rien à voir avec une décision amenée en Assemblée Nationale.

De plus demander aux étrangers de venir rejoindre une association portant un nom différent comme il a été envisagé à Dôle, est illusoire car cela les obligeraient à changer leurs statuts, changer leur visuel sur leurs articles boutique etc etc.. En un mot,désolé de l’affirmer, je suis persuadé qu’aucun pays dans ces conditions nous rejoindra. Il nous reste la solution, d’organiser un groupe de pression autour de nos idées avec nos amis étrangers, en leur demandant à défaut de nous rejoindre, tout au moins de nous soutenir. C’est la démarche que j’ai entreprise en Roumanie et qui a fonctionnée. Les Roumains ont voté officiellement en AG le soutien aux idées françaises. Cette solution a déjà payé, car KK ayant déjà compris cela, est revenu sur la non présence des pays de moins de 3 membres en les flattant et en les invitant. De plus, il sait très bien que c’est aussi sur ce terrain que nous devions prospecter des soutiens. Il nous resterait à faire passer l’idée que pour une réunification, nous puissions voir que dans les statuts internationaux, la discrimination « tabler - non ex »,soit simplement remplacée par quelque chose du genre « chaque pays seraient représentés par deux délégués qui auraient une voix chacun… »pour trouver les choses acceptables, et intéressantes pour l’International car je l’ai appris également en Roumanie, la cotisation Internationaleà augmentée, ce qui fait raller les 41, mais qui fait également insister KK dans sa lettre en écrivant : « Personnellement, je ne souhaite pas dépenser l'argent de l'International pour aller pour une autre période d'extension ». Je te laisse imaginer pourquoi il ne veut ou plutôt il ne peut pas dépenser.

Maintenant je voudrais apporter les éléments juridiques en notre faveur :

KK nous a sorti tout un baratin indiquant l’antériorité d’utilisation du logo Club 41 International par les autres pays, en ressortant un mémoire rédigé par un certain Eric J Miller en 2007.

Mais il oublie qu’en 1975, les quatre pays à avoir créé le Club 41 International et avoir utilisé pour la première fois ce logo sont l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique et la France. Que la France a utilisé comme les autres, ce logo et l’a adapté suivant ses besoins. (les autres pays utilisant le logo sans rien demander à personne) Que la France a, conformément à sa responsabilité de co-créateur du Club 41 International, protégé en 2007 ce logo au niveau français à l’INPI. Et que en 2011, j’ai poursuivi cette démarche, pour le protéger au niveau des autres 26 pays européens auprès de l’OHMI.

Ces démarches sont juridiques et actées, c’est incontestable.
 

Pourquoi KK souhaite-t-il un document de renonciation de la France auprès de l’OHMI. Parce que sans ce document, notre demande de protection ne sera éventuellement levée uniquement qu’en Angleterre, siège supposé du Club 41 International, et que la même démarche devra se faire dans les autres 25 pays, sauf la Francequi elle l’a protégé en 2007 sur son territoire. Voilà le véritable coût de bluff financier de KK. Maintenant le coût de bluff juridique : toute cette affaire a mis en évidence que le Club 41 International n’avait jamais déposé ses statuts, dans aucun pays, et donc n’avait aucune légitimité juridique.

Le Cabinet conseil de KK, a indiqué comme adresse du Club 41 International – Marchesi House, 4 Embassy Drive Calthorpe Road –Birmingham (c’est en fait le siège de la Table Ronde Anglaise).

Lorsque je demande au nouveau Trésorier International John Lewingston, présent en Roumanie, de me préciser l’adresse juridique du Club 41 International, celui-ci me répond un peu gêné « je sais, c’est la même question que nous a posé notre avocat » sous entendu que cela posait un problème à l’avocat dans la constitution du dossier. Plus fort encore, lorsque je lui pose la question : en tant que Trésorier International, comment fais tu pour ouvrir un compte bancaire de l’association, sans avoir des pièces officielles. Réponse : « je le fais avec ma signature » on peut déduire, jusqu’à preuve du contraire, que le compte du Club 41 International, est un sous compte du compte personnel du Trésorier International (Et dire que nous, nous sommes en permanence à contrôler que les Clubs et les Régions sont en règle avec les statuts en préfecture ! ! !…)

Du fait que le Club 41 International n’a pas de légitimité juridique, si KK récupère le logo, que va-t-il se passer ? Il le confiera à un pays qui le déposera en son nom. Où est la différence avec la démarche du Club 41 Français, si ce n’est que nous étions plus clairvoyants que lui, mais que nous nous serons fait avoir.

Aux vues de tous ces éléments, j’ai du mal à croire que nous n’avons pas d’arguments à faire valoir. Mais je comprends que nous ne soyons pas juristes, et donc la proposition que je t’avais faite de consulter un cabinet spécialisé prend toute sa valeur, pour défendre les intérêts du Club 41 Français, qui est, in fine le but qui doit nous motiver. Je te suggère donc, de faire appel a des professionnels pour expertise, celui que je t’avais proposé ou d’autres, comme l’avait suggérer le Conseil National lorsqu’il s’est agit d’avoir une opinion sur les statuts des Régions. C’est une mesure de sagesse.

Conclusion :

J’ai sans doute d’autres arguments à faire valoir, ou des réponses à des questions qui pourraient m’être posées. C’est à toi d’en décider en utilisant ou pas le sursis à ta disposition jusqu’au 8/12/2012, date postérieure au prochain Comité de St Etienne. J’ai écrit ce texte convaincu, que c’est le dernier plaidoyer pour que tu ne commettes pas l’irréparable et pour éclairer une voie différente, en aucun cas une opposition entre un Président National et un Past Président National. J’ai fait mon année, elle était personnellement enrichissante. Mais maintenant, c’est à toi d’être ou ne pas être le Président qui aura conduit le Comité National 2012 / 2013 à abandonner les intérêts du Club 41 Français. Ou choisir la fin Mais maintenant, je te demande, je t’en conjure, de ne pas être le Président qui aura conduit le Comité National 2012 / 2013 à abandonner les intérêts du Club 41 Français.

Cordialement.

D.ZANOLETTI

Mediterranean area meeting - Club 41 TARANTO 07-09/09/2012

Un coup pour rien?

Ca aurait pu être l'occasion pour le Club 41 Français de défendre son projet de structure internationale alternative, mais...

Entre les clubs invités qui ont décliné l'invitation (Chypre, Maroc...) ne souhaitant pas, le plus souvent semble-t-il,  s'afficher en dehors de la structure internationale en ce moment, et ceux qui n'ont pas été invités (les clubs Anglais d'espagne, les clubs Italiens du bord de mer...), il semble que l'essentiel de la délégation se soir résumé à la présence des officiels Italiens et Français (avec un représentant Roumain et un Suisse!?)...
(photo reprise sur le blog du club 41 de Taranto http://www.41news.it/)

HYM Club 41 International TAMPERE (Finlande) 2012

Au programme de cette réunion qui s'est déroulée du 31 août au 2 septembre 2012:

- remplacement du Vice Président Werner Blessing (démissionné)

- Remplacement du secrétaire Denis Beck, démissionnaire.

- Proposition Allemande afin qu'une motion rejetée ne puisse pas être présentée à nouveau lors de l'AG suivante

- Proposition du bureau international afin que les pays de moins de trois clubs soient admis et puissent voter.

Club 41, 15ème Trophée national de Golf en Corse

Cette année le Club 41 de Bastia Casinca, organise la 15ème édition du Trophée Golf Club 41 Français, cette compétition se déroulera en Corse, tout au sud de l'Ile de Beauté, à côté des fameuses falaises de Bonifaccio, sur le Golf de Spérone, considéré comme l'un des plus beaux parcours au monde. Ce Trophée de Golf est un événement qui a pour objectif de rassembler les membres du Club 41 Français ainsi que quelques amis, pour partager dans un esprit de compétition l'une de nos valeurs, à savoir « La Force de l 'Amitié ».

(Extrait du message de Serge Popoff, Président National, sur le livre d'or du site)

Les résultats sont sur:
http://www.trophee-golfclub41.com/blog.ws

(Photos JC Galletti)

Le Club 41 des remparts annule son rallye

Bien installé depuis déjà quelques années, le rendez-vous du Rallye des remparts, organisé par le Club 41 du même nom, est un évènement très apprécié des amateurs de vieilles voitures.

Hélas, cette année, avec la concomitence du Comité National de Dôle et le départ pour des raisons professionnelles du Président du Club pour raisons professionnelles, LE RALLYE EST ANNULE!

Les chèques envoyés seront naturellement retournée...

Contacté, notre ami Georges Thuilier, vice-président du Club, m'a dit qu'il ferait de son mieux pour que dès 2013, cette manifestations soit à nouveau inscrite au programme!

Sociologie du "Bénévolat" applicable à la Table Ronde et au Club 41!

Les associations jouissent dans l’imaginaire collectif d’un capital de sympathie important, image confortée par l’invocation des valeurs consensuelles de générosité et de  désintéressement et sont louées pour leur prétendue ouverture à la « société civile » et les vertus « solidaires » qu’elles seraient censées incarner. Chez nous, "Adopte, Adapte, Améliore" ou bien encore "Amitié et Tolérance"

Les données statistiques exploitées par les sociologues mettent en évidence l’inertie des déterminants sociodémographiques de la participation associative comme la classe sociale, le niveau de diplôme ou encore l’âge, dont les effets se sont accrus au détriment des catégories qui participent déjà le moins à la vie des institutions politiques. Les jeunes et les classes populaires sont donc plus éloignés de la démocratie associative. Ce n’était cependant pas le cas au début des années 1980. Le regard rétrospectif permet également de nuancer la plainte récurrente parmi les responsables associatifs d’un « déclin du bénévolat », dont l’individualisme des sociétés modernes serait responsable, alors qu’il est plutôt le fait d’une transformation des modalités d’exercice de la pratique bénévole.

Le nombre des bénévoles associatifs augmente contrairement au sentiment que l’on en a, mais parmi ces bénévoles, il convient de distinguer les dirigeants des simples participants occasionnels. Il faut distinguer les membres « impliqués » (qui exercent des responsabilités dans l’association en tant qu’administrateur ou membre d’un bureau exécutif), les membres ordinaires et les membres ponctuels (il y a donc bien des 41 de base et les autres). D’après les enquêtes, le bénévole associatif en France et en Europe est plutôt un homme âgé de 35 à 54 ans, issu d’un milieu plutôt aisé et cultivé, possédant un capital scolaire élevé et exerçant ou ayant exercé une activité professionnelle en milieu moyennement urbain. Le bénévole d’aujourd’hui recherche davantage l’accomplissement individuel que celui d’un idéal collectif. Ces constats soulignent que le monde associatif est bien loin d’être confronté à une « crise du bénévolat » et que ce registre de dramatisation, fréquemment invoqué, masque en réalité une profonde transformation des formes et des modalités d’exercice de la pratique bénévole.

Le bénévolat associatif se professionnalise, par là il faut entendre un processus de rationalisation à la fois en termes de compétence (dont le degré de spécialisation devient plus élevé) et en termes de statut s’exprimant par l’institutionnalisation de professions. Dans le cas du bénévolat associatif, la professionnalisation s’exprime notamment par la participation bénévole qui requiert de plus en plus de compétences du fait de l’exercice de responsabilités particulières (la vie associative demanderait ainsi davantage de compétences administratives, gestionnaires et juridiques).

Des variables qui ne varient pas : les déterminants de la participation associative

Toutes les enquêtes quantitatives réalisées en France depuis 1982, n’ont fait que confirmer le poids déterminant des variables sociodémographiques comme le sexe, l’âge, la profession exercée et le diplôme, sur la probabilité de participer à la vie associative. Du point de vue du nombre d’associations auxquelles une personne déclare adhérer, il est intéressant de souligner une tendance générale à un moindre cumul des engagements (sauf, notons-le, pour les 64 ans et plus où, au contraire, le cumul augmente).

Parallèlement à la catégorie socioprofessionnelle, le niveau d’instruction s’avère également fortement discriminant. Les diplômés de l’enseignement supérieur sont ainsi ceux qui adhèrent et participent le plus aux activités associatives.

L’âge, enfin, contribue à structurer de façon significative la distribution des taux d’adhésion et de participation associative. Alors que ce taux culmine pour la tranche des 34 ans à moins de 44 ans en 1982, on constate que ce sont désormais les individus les plus âgés qui représentent les fréquences modales de la distribution.

La position hégémonique des sexagénaires dans le monde associatif

L’analyse statistique met en lumière quelques tendances significatives des transformations contemporaines de l’acteur associatif : les « baby-boomers » y occupent désormais une position dominante au détriment des plus jeunes.

Il est d’ailleurs probable que l’allongement de la durée des études, conjuguée à une dégradation des  conditions d’entrée sur le marché du travail soient des facteurs qui rendent l’adhésion et l’engagement, dont la gratuité n’est qu’une apparence trompeuse, fortement « coûteux ». Il est ainsi significatif de constater un effondrement du cumul des adhésions associatives pour les jeunes actifs trentenaires et quadragénaires de 2002 par rapport à leurs homologues de 1982. Ce sont donc bien les jeunes retraités qui occupent désormais une position dominante dans le monde associatif en considérant d’ailleurs bien souvent leur engagement comme une « seconde carrière » qui les occupe bien souvent à plein temps. On retrouve donc dans le monde associatif un processus d’hégémonie générationnelle, de sexagénaires et plus cumulant toutes les positions de pouvoir.

D’après un article du sociologue Denis Bernardeau MOREAU

Club 41 International - HYM de TAMPERE

Incroyable! Werner BLESSING, 41 et ex-tabler bien connu puisqu'il totalise 35 années de Club dont 19 à des fonctions électives, élu Vice-Président International à Chennaï, a été démissionné de son poste et remplacé par Christoph Hannsler (également membre du Club 41 Suisse). Une éviction qui fait suite aux remous suscités par le départ du Club 41 Français afin d'éviter une guerre interne ouverte au sein de l'organisation internationale... Son crime, avoir clamé que les tors n'étaient pas tous du même côté et avoir appelé à savoir raison garder...

Amitié et Tolérance