Ou comment le mieux peut parfois être l’ennemi du bien ?
Il me semble que nous assistons, bien involontairement certes, à la mort lente de la spontanéité démocratique dans le choix des instances dirigeantes de notre club. En effet, nous avons, au niveau national un premier vice-président, appelé à devenir Président et un second vice-président qui devrait prendre la suite. Au niveau des régions, on peut retrouver le même schéma, ainsi, dans la 5ème, nous avons également un premier et un second vice-président. L’élection n’est plus alors qu’une élection de principe car il n’y a qu’un seul candidat issu du processus officiel.
En elle-même, la logique est bonne, il s’agit tout à la fois, me semble-t-il,
- de laisser au futur président de prendre la mesure du poste,
- de fournir une aide au président en poste
- d’éviter qu’au dernier moment il n’y ait pas de candidat.
Je ne conteste pas non plus l’élection des vice-présidents qui est démocratique. Mais là ou le bas blesse, c’est que j’ai l’impression qu’une fois élu 2nd vice-président, l’élection au poste de Président (Régional ou National) est inéluctable. Je n’ai pas le recul nécessaire au sein du Club41, mais a-t-on des exemples de candidature venant réellement interférer dans ce processus ?
Peut-être serait-il souhaitable de rouvrir un peu la porte d’accès à ces fonctions en rappelant que, statutairement, le vice-président se prépare à être éventuellement président et que toute candidature adressée dans les temps est recevable dans la mesure ou le candidat répond aux critères.
Voilà, encore un sujet de réflexion sur lequel je vous invite à réagir !
mardi 26 février 2008
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