En décidant a Chennaï, de quitter l’organisation internationale, notre Président National de l’époque a su exprimer un sursaut d’orgueil en notre nom à tous et il fallait avoir les couilles de le faire !
Au-delà de la position de principe, il faut bien reconnaître à présent notre naïveté de croire que d’autres nous suivraient, tant il est vrai qu’il y a loin des intentions aux actes… Et voilà la donc le Club 41 Français, droit dans ses bottes, mais seul !
Les démarches qui suivirent ne furent pas exemptes de rancœur et parfois empruntes d’une certaine mauvaise foi. La volonté éphémère de créer une structure internationale parallèle par exemple, ou bien encore l’histoire du logo international pris en otage, ou cette merveilleuse idée d’un «guide » international indépendant (Planet 41), idée empoisonnée à la naissance par une volonté sous-jacente de contourner la structure internationale, heureusement abandonnée (mais un peu tard?) depuis…
La position du club 41 Français est juste, il est discriminatoire de vouloir exclure les « non ex-tablers » ou de vouloir en faire des membres de second ordre ! Nous avons raison et l’avenir le confirmera ! Compte tenu de la courbe démographique de la Table Ronde à travers le monde, les clubs les plus puristes seront bientôt en voie de disparition et devront s’adapter et s’ouvrir, ou bien disparaître d’eux-mêmes… Mais l’histoire montre qu’il n’est jamais bon d’avoir raison seul ou trop en avance, encore moins seul et trop en avance !
Pourquoi faudra-t-il revenir ? L’international se vit, au niveau des clubs, sans réelle nécessité d’une quelconque appartenance à une structure internationale, toutefois, en terme de reconnaissance par les différents bureaux des pays, il est sain d’être représenté. Et puis, c’est un fait connu, il est toujours plus facile d’œuvrer au changement depuis l’intérieur d’une structure (évolution), que depuis l’extérieur (révolution)… Quand on est dedans, on a voir au chapitre, lorsque on est dehors… On est surtout… Dehors !
Il est trop tôt pour envisager un retour, naturellement. Il faut que les esprits s’apaisent, que les protagonistes, de part et d’autre, prennent du recul et ne soient plus aux affaires, que le temps enfin, fasse son œuvre et que les différents pays constatent l’évolution négative de leurs troupes, alors que le Club 41 Français continue pour sa part à charter chaque année plusieurs clubs… Pour autant, il serait contre productif de délaisser, au niveau du bureau national, les contacts avec les différents bureaux, car la politique de la chaise vide n’est pas, loin s’en faut, la plus efficace.
Au-delà de la position de principe, il faut bien reconnaître à présent notre naïveté de croire que d’autres nous suivraient, tant il est vrai qu’il y a loin des intentions aux actes… Et voilà la donc le Club 41 Français, droit dans ses bottes, mais seul !
Les démarches qui suivirent ne furent pas exemptes de rancœur et parfois empruntes d’une certaine mauvaise foi. La volonté éphémère de créer une structure internationale parallèle par exemple, ou bien encore l’histoire du logo international pris en otage, ou cette merveilleuse idée d’un «guide » international indépendant (Planet 41), idée empoisonnée à la naissance par une volonté sous-jacente de contourner la structure internationale, heureusement abandonnée (mais un peu tard?) depuis…
La position du club 41 Français est juste, il est discriminatoire de vouloir exclure les « non ex-tablers » ou de vouloir en faire des membres de second ordre ! Nous avons raison et l’avenir le confirmera ! Compte tenu de la courbe démographique de la Table Ronde à travers le monde, les clubs les plus puristes seront bientôt en voie de disparition et devront s’adapter et s’ouvrir, ou bien disparaître d’eux-mêmes… Mais l’histoire montre qu’il n’est jamais bon d’avoir raison seul ou trop en avance, encore moins seul et trop en avance !
Pourquoi faudra-t-il revenir ? L’international se vit, au niveau des clubs, sans réelle nécessité d’une quelconque appartenance à une structure internationale, toutefois, en terme de reconnaissance par les différents bureaux des pays, il est sain d’être représenté. Et puis, c’est un fait connu, il est toujours plus facile d’œuvrer au changement depuis l’intérieur d’une structure (évolution), que depuis l’extérieur (révolution)… Quand on est dedans, on a voir au chapitre, lorsque on est dehors… On est surtout… Dehors !
Il est trop tôt pour envisager un retour, naturellement. Il faut que les esprits s’apaisent, que les protagonistes, de part et d’autre, prennent du recul et ne soient plus aux affaires, que le temps enfin, fasse son œuvre et que les différents pays constatent l’évolution négative de leurs troupes, alors que le Club 41 Français continue pour sa part à charter chaque année plusieurs clubs… Pour autant, il serait contre productif de délaisser, au niveau du bureau national, les contacts avec les différents bureaux, car la politique de la chaise vide n’est pas, loin s’en faut, la plus efficace.
Il semble bien que tant Philippe, actuellement à la manœuvre, que Guy, qui devrait lui succéder, soient peu ou proue sur cette même ligne...
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